Voici quelques usages culinaires pour ce légume oublié :

Cru, à la façon des Amérindiens : croquer dedans comme s'il s'agissait tout bonnement d'un radis. Mais on peut encore le râper et le servir en salade : la sauce rémoulade lui convient aussi bien qu’au céleri-rave. Pour éviter qu'il ne s'oxyde, le mettre dans de l'eau citronnée tout de suite après l'avoir râpé.

Cuit au four, en robe des champs : peler une fois qu'il est cuit et servir avec du beurre ou de l’huile d'olive, du sel, du poivre, du persil, de la ciboulette. On peut aussi le rôtir au four après l’avoir assaisonné à la sarriette ou avec une autre herbe au choix.

Dans un potage ou une crème : réduit en purée, puis mélangé avec du lait de vache ou de soya et assaisonné à la marjolaine.

Coupé en tranches et sauté dans un wok à la manière chinoise.

En frites ou en croustilles.

En jus (par extracteur). pour profiter de tous les bienfaits de ce jus réputé pour ses vertus régénératives.

Apprêter à la vapeur les jeunes feuilles ou les jeunes pousses tout juste sorties de terre.

Récoltées à l'automne, les fleurs seront ajoutées aux salades.

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Une matinée réservée au rangement, en particulier de la bibliothèque car les bouquins commençaient à envahir sérieusement les tables basses et les chevets. Résolution avant la fin de l'année : je trie les livres ! Cliquer le tag livres : vous aurez sans doute envie de vous procurer quelques-uns de ces livres passionnants...

Petit déjeuner

• céréale (pain complet, muesli, galettes de riz, rix complet, etc.)
• protéine (oeuf, yaourt soja, lait soja, soupe miso, etc.)
• fruit (facultatif)
• thé vert

Déjeuner / Diner

• céréale (pain complet, riz, pâtes complètes, quinoa, millet...)
• protéine (légumineuses, tofu, oeufs, seitan, tempeh, soupe miso...)
• légumes cuits et/ou crus avec assaisonnement léger (huile colza ou sésame, vinaigre de riz, sauce soja)
• thé vert

Goûter : fruit

A rajouter règulièrement dans les recettes :

• champignons chinois,
• sésame,
• algues,
• herbes, épices,
• ail,
• oignons,
• citron,
• choux,
• noix

Les grands principes de la vie à Okinawa

• De la mesure : les gens d’Okinawa quittent la table à 80 % plein.
• Les végétaux avant tout : fruits, légumes et céréales représentent 70 % de leur alimentation. Le reste est composé de poisson. Ils ont ainsi du soja à tous les repas (deux fois plus que les Japonais du continent !), 5 légumes différents par jour, du riz, du thé, des aromates et des épices. En revanche, les fruits sont là-bas un produit de luxe, et ne sont pas consommés fréquemment.
• Plus de poisson que de viande
• Du mouvement ! Les habitants d’Okinawa marchent beaucoup, travaillent vieux.
• De la sérénité : Les gens d’Okinawa prennent le temps de se poser, ils vont une fois par jour sur la plage simplement pour remercier la vie d’être là.
• La vie communautaire : tous les habitants d’Okinawa sont très entourés. Non seulement ils s’impliquent dans la vie du village, mais ils appartiennent à des sortes de clubs de quartier qui se réunissent chaque semaine et où tous montrent leur solidarité.

Okinawa est une petite île japonaise qui fait de plus en plus parler d’elle. En effet, elle détient le record mondial de longévité, avec près de 3 fois plus de centenaires qu’en France. Les maladies telles que surpoids, cancers, ostéoporose, attaques cérébrales, maladies cardiaques, qui déciment nos populations occidentales sont beaucoup moins fréquentes sur cette île.

Lire aussi le livre du Dr Jean-Paul Curtay

Réajuster non seulement la qualité et la quantité de nos apports, mais aussi les associations d'aliments qui composent nos repas. Si une dissociation sévère se révèle parfois profitable, telle une cure périodique, une dissociation raisonnée permet d'optimiser à la fois l'assimilation et la digestion de nos aliments, tout en conciliant repas sains et gastronomiques.

La plupart des réactions chimiques dans notre corps dépendent de 1500 enzymes dont nous disposons.
Les enzymes humaines étaient bien adaptées à l'alimentation ancestrale naturelle, constituée de produits bruts. Nos ancêtres l'ont d'ailleurs pratiquée pendant des millions d'années.
Mais aujourd'hui, une proportion croissante des substances consommées dans notre « alimentation moderne » est incassable par nos enzymes et ces dernières n'ont aucune chance de s'adapter à des molécules « contre nature ». Docteur Jean Seignalet

Marie Delmas a réalisé un livre les recettes sans gluten pour les personnes atteintes de maladies auto-immunes.
Avec les encouragements du docteur Jean Seignalet.

Plus de 150 recettes bon marché : ce livre démontre que manger sain en se faisant plaisir et pour 3 fois rien, c'est possible !

Il présente toutes les bases d'une bonne alimentation, propose des menus adaptés aux saisons et reste pratique d'utilisation avec un classement des recettes par prix.